Les légendes des photos varies, des fois, voyage de Marseille à Paris, d’autres fois de Vichy à Paris. Certaines aussi sont nommés « en Algérie à la recherche du chameau » alors que les mêmes photographies sont également nommés « sur le parcours » (de Marseille -ou Vichy- a Paris).
Notre ami Doussineau était réellement remplit d’imagination pour mettre des légendes de sa propre inspiration, une photographie « en Algerie » étant plus « vendeur » qu’une carte metropolitaine.
Est-il réellement partie de Marseille, ou alors de Vichy, nous l’ignorons… Il semblerais qu’il y ai eut aussi deux dromadaires différents d’utilisés…
La fin du périple semble se situé à l’Hôpital de l’Hôtel Dieu (salle Saint-Come), ou le 29 janvier 1911, Jean Baptiste Dussineau subi l’opération de la laparotomie (la laparotomie, est un acte chirurgical consistant en l’ouverture de l’abdomen par une incision laissant le passage direct à d’autres actes chirurgicaux sur les organes abdominaux et pelviens. La laparotomie est une voie d’abord chirurgicale. Différentes incisions sont possibles. La plus courante est une ouverture allant du pubis au bord inférieur du sternum).
Nous n’en savons pas plus sur ce boulanger ayant fait « son tour de France » à dos de dromadaire.
Une recherche minutieuses dans les presses locales (Dieppe, Le Havre, Chartres, Bezons) pourrait surement nous en dire encore plus sur ce cher boulanger.
Cet article démontre en tout cas et sans aucun doute, que le malheur de ce boulanger ne vient pas d’un scandale financier lie à la Compagnie de transport ferroviaire de l’ouest, comme il est propagé, copié et recopié par plusieurs blogs et sites internet.
Ce qui démontre une fois de plus la nécessite constante, lors d’affirmations historiques, de vérifier ses sources. Internet n’est pas parole d’évangile…